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Par Pagnolesque le 24 Février 2009 à 13:00
A Apt mon Amour !
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Sur la grande place de la ville,
Assis à la table du café,
Nous y avons vécu notre idylle
Amoureusement pour un été !
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C’était à Apt ces jours
Où brûlaient nos toujours,
Main dans la main nous faisions le parcours,
Contournant la cité
Le jour juste levé,
C’était si doux de vivre à ton côté !
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Notre amour nous menait aux ruelles,
Où nous découvrions ces maisons,
Que l’on aurait pu croire éternelles
Se moquant du temps et des saisons !
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Il fleurait bon l’amour
En bas de cette tour
Qui nous a vu amants jour après jour,
Lorsque le soir tombant
Ma main contre ton flanc
Nous prenions place, heureux, au restaurant.
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Souviens toi, veux-tu, de la lavande,
Souviens toi des musées visités,
Où pendaient comme grande guirlande,
Les bouquets de fleurs recomposés.
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Les cigales chantaient,
Et nos deux cœurs battaient
Faisant écho aux joies qui nous grisaient.
Oui dans le Lubéron,
Vivre que c’était bon,
Chantant l’amour tous deux à l’unisson.
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© Pagnolesque 02.02.2009
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Musique « C’était le temps des fleurs »
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Par Pagnolesque le 23 Février 2009 à 20:33
Le Nil !
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Que c’était beau le Nil,
Au temps de nos amours,
Que c’était beau le Nil
Au temps de nos toujours ;
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Le désert se coupait
D’oasis de verdure ;
En ce temps là tu sais
L’amour était si pur !
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Les dunes racontaient
Un passé prestigieux
Que nos cœurs écoutaient
En ces instants heureux !
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Le sphinx dans sa grandeur
Semblait veiller au temps,
Surveillait le bonheur
De nos jours envoûtants !
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Que c’était beau le Nil,
Lorsque tombait la nuit,
Que c’était beau le Nil
Protégé de tout bruit !
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Kéops pour nous contait,
Le temps des pharaons
Et on la contemplait
De multiples façons.
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Tu me tenais la main
En m’offrant un sourire,
Tu m’offrais des demains
Dans l’écho de ton rire !
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Je porte encore au cou
L’anneau de ce delta
Il est souvenir doux
Que je ne jette pas !
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Que c’était beau le Nil,
Au temps de notre amour,
Que c’était beau le Nil
Au temps de nos toujours !
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Je garderai au cœur,
Gravé comme un secret
Le temps de ce bonheur
Sans nul autre regret !
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Musique « Que c’est triste Venise »
© Pagnolesque 20.02.2009
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Par Pagnolesque le 23 Février 2009 à 20:31
Le Grau du Roi !
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Mélodie
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Le Grau du Roi c’était pour nous,
Souvent l’été le rendez-vous,
De nos « Je t’aime ».
Le long de la plage, amoureux,
Le temps pour nous était heureux
De nos « Je t’aime » !
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Ces mots d’amour toujours si doux,
Je les entends encor, c’est fou,
J’en suis malade,
Et dans mon cœur je me souviens,
Ca me fait mal mais ce n’est rien,
De nos balades.
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La mer nous chantait les romances,
Durant le temps de nos vacances,
De nos « je t’aime ».
Passant ma main dans tes cheveux,
Je te répétais amoureux,
« Ô que je t’aime » !
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Le soir c’était les flâneries,
Parfois j’en pleure ou bien j’en ris,
Le long des grèves,
Nos nuits étaient faites d’amour,
Comme à l’image de nos jours
Et de nos rêves !
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Nous entrions dans les boutiques,
Yeux langoureux et romantiques,
Disant « Je t’aime »,
Nous étions bien en ce temps là,
Nous étions fous en ce temps là
De nos « Je t’aime » !
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Et en marchant sur les chemins
Bordés de fleurs, plantés de pins,
J’aimais ton rire,
Moi dans tes yeux je voyais tout,
De ton amour et puis surtout
Ton beau sourire !
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Je t’aime encor, tu le sais bien,
Je suis à toi, oui je suis tien
Parc’que je t’aime !
Et dans mon cœur je me souviens,
Ca me fait mal mais ce n’est rien !
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Musique « Il venait d’avoir dix-huit ans »
© Pagnolesque 09.02.2009
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Par Pagnolesque le 23 Février 2009 à 20:27
L’Isle sur Sorgue
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Autrefois, nos pas nous ont menés,
Tout au bord d’un filet d’eau
Où nous nous sommes mirés.
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Sur la Sorgue, Ô Dieu que c’était beau !
Cette eau claire, aux reflets bleus,
Chaque fois c’était nouveau !
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C’était, l’Isle sur Sorgue
Un beau village
Où nos voyages
Nous ont fait passé souvent
Et tout près de cette grande roue
Nous avons gravé tout notre amour si doux !
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En ce lieu, sous le ciel azuré,
Que la vie était bien douce,
Moi marchant à ton côté.
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Beaux étaient nos jours,
Tout cet amour,
Cette tendresse
Nous menant jusqu’à l’ivresse ;
Je garde en moi ces meilleurs souvenirs
De ces instants de nos plus tendres soupirs !
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Ô Provence, où nous fumes heureux,
Porte lui, ces tendres mots,
En moi efface tous les maux !
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© Pagnolesque 25.01.2009
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Musique (Mindnight blue)
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Par Pagnolesque le 10 Février 2009 à 20:22
Les Baux de Provence.
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Il y a sous le ciel de la douce Provence
Tant de lieux mon amour où nous sommes allés,
Qu’il est bien difficile à mettre en évidence
Tous ces sites charmants qui nous ont abrités !
Le temps d’une saison, les ruelles pimpantes
De ce village phare, atout majeur de France,
Ont vu tout notre amour, notre joie si fringante
Et dans tes yeux azurs, poursuivait la romance
De ton cœur qui m’aimait !
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Les Baux de Provence entourés de remparts,
Ont vibré je pense, alors qu’il était tard
Sous l’amour des sens et de douces promesses
Et bien tendres caresses.
Nous avons passé des heures merveilleuses,
Nous avons connu tant de journées joyeuses,
Qu’à ce jour vois-tu je veux les protéger,
Je ne peux oublier !
Le temps n’effacera aucun jour avec toi
Et je resterai là en n’attendant que toi !
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Souviens-toi des étals, où dormait la lavande,
Le thym de la garrigue et le bois d’olivier,
Moi je revois ta bouche et tes lèvres gourmandes,
Souviens-toi de nos cœurs qui n’étaient que brasier.
Il me vient à l’instant l’idée de te parler
Des marches du château, de la très vieille église,
Et de tous les potiers et autres sabotiers,
Tu vois comme à présent, tout ce passé me grise,
Quand je pense à avant !
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Les Baux de Provence ont à jamais marqué
Mon âme en errance et mon très cher passé,
J’y retournerai, pour entendre ton rire,
Un peu comme un soupir !
Je sais que là-bas, au cœur de la Provence
Je retrouverai comme un brin d’espérance,
Un profond silence, un instant de plaisir,
Et je pourrai dormir…
Mais avant tout cela, il me faudra finir,
De poser çà et là, mes plus beaux souvenirs !
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© Pagnolesque 07.02.2009
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Musique « Les marchés de Provence »
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