• A Apt mon Amour !

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    Sur la grande place de la ville,

    Assis à la table du café,

    Nous y avons vécu notre  idylle

    Amoureusement pour un été !

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    C’était à Apt ces jours

    Où brûlaient nos toujours,

    Main dans la main nous faisions le parcours,

    Contournant la cité

    Le jour juste levé,

    C’était si doux de vivre à ton côté !

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    Notre amour nous menait aux ruelles,

    Où nous découvrions ces maisons,

    Que l’on aurait pu croire éternelles

    Se moquant du temps et des saisons !

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    Il fleurait bon l’amour

    En bas de cette tour

    Qui nous a vu amants jour après jour,

    Lorsque le soir tombant

    Ma main contre ton flanc

    Nous prenions place, heureux, au restaurant.

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    Souviens toi, veux-tu, de la lavande,

    Souviens toi des musées visités,

    Où pendaient comme grande guirlande,

    Les bouquets de fleurs recomposés.

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    Les cigales chantaient,

    Et nos deux cœurs battaient

    Faisant écho aux joies qui nous grisaient.

    Oui dans le Lubéron,

    Vivre que c’était bon,

    Chantant l’amour tous deux à l’unisson.

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    © Pagnolesque 02.02.2009

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    Musique « C’était le temps des fleurs »


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  • Le Nil !

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    Que c’était beau le Nil,

    Au temps de nos amours,

    Que c’était beau le Nil

    Au temps de nos toujours ;

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    Le désert se coupait

    D’oasis de verdure ;

    En ce temps là tu sais

    L’amour était si pur !

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    Les dunes racontaient

    Un passé prestigieux

    Que nos cœurs écoutaient

    En ces instants heureux !

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    Le sphinx dans sa grandeur

    Semblait veiller au temps,

    Surveillait le bonheur

    De nos jours envoûtants !

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    Que c’était beau le Nil,

    Lorsque tombait la nuit,

    Que c’était beau le Nil

    Protégé de tout bruit !

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    Kéops pour nous contait,

    Le temps des pharaons

    Et on la contemplait

    De multiples façons.

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    Tu me tenais la main

    En m’offrant un sourire,

    Tu m’offrais des demains

    Dans l’écho de ton rire !

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    Je porte encore au cou

    L’anneau de ce delta

    Il est souvenir doux

    Que je ne jette pas !

    <o:p> </o:p>

    Que c’était beau le Nil,

    Au temps de notre amour,

    Que c’était beau le Nil

    Au temps de nos toujours !

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    Je garderai au cœur,

    Gravé comme un secret

    Le temps de ce bonheur

    Sans nul autre regret !

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    Musique « Que c’est triste Venise »

    © Pagnolesque 20.02.2009

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  • Le Grau du Roi !

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    Mélodie

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    Le Grau du Roi c’était pour nous,

    Souvent l’été le rendez-vous,

    De nos « Je t’aime ».

    Le long de la plage, amoureux,

    Le temps pour nous était heureux

    De nos « Je t’aime » !

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    Ces mots d’amour toujours si doux,

    Je les entends encor, c’est fou,

    J’en suis malade,

    Et dans mon cœur je me souviens,

    Ca me fait mal mais ce n’est rien,

    De nos balades.

    <o:p> </o:p>

    La mer nous chantait les romances,

    Durant le temps de nos vacances,

    De nos « je t’aime ».

    Passant ma main dans tes cheveux,

    Je te répétais amoureux,

    « Ô que je t’aime » !

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    Le soir c’était les flâneries,

    Parfois j’en pleure ou bien j’en ris,

    Le long des grèves,

    Nos nuits étaient faites d’amour,

    Comme à l’image de nos jours

    Et de nos rêves !

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    Nous entrions dans les boutiques,

    Yeux langoureux et romantiques,

    Disant « Je t’aime »,

    Nous étions bien en ce temps là,

    Nous étions fous en ce temps là

    De nos « Je t’aime » !

    <o:p> </o:p>

    Et en marchant sur les chemins

    Bordés de fleurs, plantés de pins,

    J’aimais ton rire,

    Moi dans tes yeux je voyais tout,

    De ton amour et puis surtout

    Ton beau sourire !

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    Je t’aime encor, tu le sais bien,

    Je suis à toi, oui je suis tien 

    Parc’que je t’aime !

    Et dans mon cœur je me souviens,

    Ca me fait mal mais ce n’est rien !

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    Musique « Il venait d’avoir dix-huit ans »

    © Pagnolesque 09.02.2009

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  • L’Isle sur Sorgue

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    Autrefois, nos pas nous ont menés,

    Tout au bord d’un filet d’eau

    Où nous nous sommes mirés.

    <o:p> </o:p>

    Sur la Sorgue, Ô Dieu que c’était beau !

    Cette eau claire, aux reflets bleus,

    Chaque fois c’était nouveau !

    <o:p> </o:p>

    C’était, l’Isle sur Sorgue

    Un beau village

    Où nos voyages

    Nous ont fait passé souvent

    Et tout près de cette grande roue

    Nous avons gravé tout notre amour si doux !

    <o:p> </o:p>

    En ce lieu, sous le ciel azuré,

    Que la vie était bien douce,

    Moi marchant à ton côté.

    <o:p> </o:p>

    Beaux étaient nos jours,

    Tout cet amour,

    Cette tendresse

    Nous menant jusqu’à l’ivresse ;

    Je garde en moi ces meilleurs souvenirs

    De ces instants de nos plus tendres soupirs !

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    Ô Provence, où nous fumes heureux,

    Porte lui, ces tendres mots,

    En moi efface tous les maux !

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    © Pagnolesque 25.01.2009

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    Musique (Mindnight blue)


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  • Les Baux de Provence.

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    Il y a sous le ciel de la douce Provence

    Tant de lieux mon amour où nous sommes allés,

    Qu’il est bien difficile à mettre en évidence

    Tous ces sites charmants qui nous ont abrités !

    Le temps d’une saison, les ruelles pimpantes

    De ce village phare, atout majeur de France,

    Ont vu tout notre amour, notre joie si fringante

    Et dans tes yeux azurs, poursuivait la romance

    De ton cœur qui m’aimait !

    <o:p> </o:p>

    Les Baux de Provence entourés de remparts,

    Ont vibré je pense, alors qu’il était tard

    Sous l’amour des sens et de douces promesses

    Et bien tendres caresses.

    Nous avons passé des heures merveilleuses,

    Nous avons connu tant de journées joyeuses,

    Qu’à ce jour vois-tu je veux les protéger,

    Je ne peux oublier !

    Le temps n’effacera aucun jour avec toi

    Et je resterai là en n’attendant que toi !

    <o:p> </o:p>

    Souviens-toi des étals, où dormait la lavande,

    Le thym de la garrigue et le bois d’olivier,

    Moi je revois ta bouche et tes lèvres gourmandes,

    Souviens-toi de nos cœurs qui n’étaient que brasier.

    Il me vient à l’instant l’idée de te parler

    Des marches du château, de la très vieille église,

    Et de tous les potiers et autres sabotiers,

    Tu vois comme à présent, tout ce passé me grise,

    Quand je pense à avant !

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    Les Baux de Provence ont à jamais marqué

    Mon âme en errance et mon très cher passé,

    J’y retournerai, pour entendre ton rire,

    Un peu comme un soupir !

    Je sais que là-bas, au cœur de la Provence

    Je retrouverai comme un brin d’espérance,

    Un profond silence, un instant de plaisir,

    Et je pourrai dormir…

    Mais avant tout cela, il me faudra finir,

    De poser çà et là, mes plus beaux souvenirs !

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    © Pagnolesque 07.02.2009

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    Musique « Les marchés de Provence »


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