• En Boulonnais !

    <o:p> </o:p>

    Mélodie

    <o:p> </o:p>

    Si nous avons visité la Provence,

    Un été c’est bien dans le Boulonnais,

    Que nous avons baladé la romance

    De notre amour qui en tous lieux brillait.

    <o:p> </o:p>

    Le gris du ciel avait peu d’importance,

    Notre soleil à lui seul suffisait,

    Il était là abritant nos silences,

    Il était là pour deux cœurs qui s’aimaient !

    <o:p> </o:p>

    Tu étais radieuse,

    Tu semblais si heureuse,

    En me tenant la main

    Mon cœur,

    Quand la mer ténébreuse

    Au loin se déchaînait

    Dans sa folie furieuse

    Mon cœur.

    <o:p> </o:p>

    Longeant la côte quelque sauvage,

    Au Cap Gris Nez nous avons regardé,

    Alors que le vent battait nos visages

    Cette falaise par le temps rongée.

    <o:p> </o:p>

    Ô oui nous en avons fait des voyages,

    Et souviens toi du château fortifié,

    De la « Colonne » et des bateaux sans âge,

    Du restaurant de la vieille citée.

    <o:p> </o:p>

    Tu étais radieuse,

    Tu semblais si heureuse,

    En me tenant la main

    Mon cœur,

    Quand la mer ténébreuse,

    Au loin se déchaînait

    Dans sa folie furieuse,

    Mon cœur !

    (bis)

    <o:p> </o:p>

    Mélodie

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    © Pagnolesque 09.02.2009


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  • Notre romance !

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Souviens-toi mon cœur

    De notre romance,

    De ce doux bonheur

    Près de la Durance,

    Nos jours de labeur

    Au ciel de Provence

    N’avaient plus d’importance !

    <o:p> </o:p>

    Savines-le-Lac a entendu

    Mes mots que le vent t’apportait

    Et moi dans tes yeux souvent j’ai vu

    Tout cet amour qui y brillait

    Tout cet amour qui y brillait !

    <o:p> </o:p>

    Ce joli village

    Savait accueillir

    L’amour en voyage,

    L’amour en délire

    Sous son paysage

    Nos tendres soupirs

    Au bord de son rivage !

    <o:p> </o:p>

    Nous avons eu des jours heureux

    Une douce embellie,

    Et dans nos deux cœurs amoureux

    Bien belle était souvent la vie,

    Bien belle était souvent la vie !

    <o:p> </o:p>

    Souviens-toi mon cœur

    Comme c’était bon,

    Souviens-toi des heures

    Où nous nous aimions,

    De notre langueur

    En belle saison

    Près de Serre-Ponçon !

    <o:p> </o:p>

    Main dans la main on a suivi

    Ce chemin qui guidait nos pas,

    Et près de ce village englouti

    Le temps pour nous ne comptait pas,

    Les temps pour nous ne comptait pas !

    <o:p> </o:p>

    Souviens-toi mon cœur

    De notre romance,

    De ce doux bonheur

    Près de la Durance,

    Nos jours de labeur

    Au ciel de Provence

    N’avaient plus d’importance !

    <o:p> </o:p>

    Nous avons eu des jours heureux

    Une douce embellie,

    Et dans nos deux cœurs amoureux

    Bien belle était souvent la vie,

    Bien belle était souvent la vie !

    <o:p> </o:p>

    Mais la roue a tourné,

    Et dans mes souvenirs,

    Ces instants du passé,

    Qui me font tant languir

    Sont à jamais gravés

    Dans mon cœur, c’est peu dire,

    Pour ne pas oublier !

    <o:p> </o:p>

    Que toi et moi on s’est aimé,

    Sous les cieux de Provence,

    Que durant toutes ces années,

    Belle était la romance,

    Belle était la romance,

    Belle était la romance !

    <o:p> </o:p>

    © Pagnolesque 03.02.2009

    <o:p> </o:p>

    (Musique « le Tourbillon de la vie »)


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  • A Corfou my love !

    <o:p> </o:p>

    A Corfou mon amour, tout était si beau,

    Tout semblait irréel, et toi, Ô toi si belle,

    Mes mains couvrant ton corps en caresse charnelle,

    Le soleil au Zénith, tous deux, peau contre peau.

    <o:p> </o:p>

    Rien n’était important et rien n’existait plus

    Que nos tendres ébats en sublime tendresse

    Nous transportant parfois jusqu’au bord de l’ivresse

    Des plaisirs qui jamais ne se trouvaient repus.

    <o:p> </o:p>

    La plage mon amour où la mer se mourrait

    Entendait nos doux mots, ressentait mon envie

    D’être à toi, d’être en toi à jamais, pour la vie

    Toi qui savais m’offrir tout ce que j’attendais.

    <o:p> </o:p>

    Qu’étaient douces nos nuits, marchant sur l’avenue,

    Où sur les murs blanchis se hissaient en tous lieux

    Ces arbustes à fleurs s’élevant vers les cieux

    Et que mes tendres mots s’envolaient sous la nue.

    <o:p> </o:p>

    Nous avons découvert ensemble les cafés,

    Buvettes où l’écho savait saisir ton rire

    Et où j’emprisonnais, pour moi, tout ton sourire

    Comme je capturais tes regards azurés.

    <o:p> </o:p>

    Puis dans l’obscurité d’une chambre cossue,

    Nos corps s’abandonnaient à l’amour souverain

    Moi épousant parfois la courbe de tes reins,

    Déposant des baisers tendres sur ta peau nue.

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    © Pagnolesque 06.02.2009

     

    musique "Ghost"


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  • A l’ombre des grumiers !

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Non loin du Pont du Gua,

    Au relais des Brison,

    Avons marqué le pas,

    Une saison,

    C’était près de Joyeuse,

    Et tu étais heureuse,

    Je suivais ton amour

    Jour après jour et sans détour !

    <o:p> </o:p>

    Nous avons tant marché,

    En longues randonnées,

    Que las et fatigués,

    On s’est moqué,

    Du temps qui s’écoulait,

    Dès l’instant qu’on s’aimait,

    Nous vivions notre amour

    Jour après jour et sans détour !

    <o:p> </o:p>

    Dans la châtaigneraie,

    Nous nous sommes perdus,

    Dans la châtaigneraie

    Nous avons vu

    Que l’amour nous guidait

    Que la joie nous comblait

    Sans faire demi-tour

    On s’est aimé et sans détour !

    <o:p> </o:p>

    C’était au Pont du Gua

    En terrasse parfois

    Nous nous arrêtions là

    Que toi et moi,

    Nous avons savouré

    Ces doux instants passés

    Au soleil de nos jours

    Jour après jour et sans détour !

    <o:p> </o:p>

    Souviens toi des grumiers

    Qui fleuraient bon l’amour

    Et ce ces citronniers

    Qui berçaient notre amour !

    <o:p> </o:p>

    © Pagnolesque 22.01.2009

    <o:p> </o:p>

    Musique « Pendant que je dormais »


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  •  

    Village des Bories

    <o:p> </o:p>

    Nous serons de retour, Village des Bories

    Pour retrouver tous deux la douce confiance.

    Nous marcherons encor jusqu’à tes bergeries

    Où je serrais si fort sur mon doigt l’alliance.

    <o:p> </o:p>

    Et nous nous moquerons du rire et moqueries

    Que d’autres lanceront par esprit de vengeance,

    Car nous serons heureux de ces instants conquis,

    De ces moments volés nous offrant délivrance !

    <o:p> </o:p>

    Tout au long de tes murs entourés de l’enclos,

    Je lui dirai encor combien ses yeux sont beaux,

    Doux reflet de l’azur qui ne connaît l’usure !

    <o:p> </o:p>

    Puis nous repartirons, peut-être le cœur gros,

    Mais elle gardera de la douce aventure

    Des images de vie offertes en cadeaux !

    <o:p> </o:p>

    © Pagnolesque 14.01.2009


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